{"id":674,"date":"2020-06-10T18:08:49","date_gmt":"2020-06-10T18:08:49","guid":{"rendered":"https:\/\/www.vistaprint.be\/fr\/hub\/?p=674"},"modified":"2022-05-31T16:57:25","modified_gmt":"2022-05-31T16:57:25","slug":"passion-perseverance-possibilites-evan-georgopoulos-de-the-barbers-den","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.vistaprint.be\/fr\/hub\/passion-perseverance-possibilites-evan-georgopoulos-de-the-barbers-den","title":{"rendered":"Passion. Pers\u00e9v\u00e9rance. Possibilit\u00e9s : Evan Georgopoulos de The Barber\u2019s Den"},"content":{"rendered":"\n

\u00ab Passion. Pers\u00e9v\u00e9rance. Possibilit\u00e9s. \u00bb est la s\u00e9rie de Vistaprint consacr\u00e9e \u00e0 l’histoire de dirigeants de petites entreprises en qu\u00eate de r\u00e9ussite.<\/p>\n\n\n\n

Dans cet \u00e9pisode, Evan Georgopoulos, partenaire fondateur de The Barber’s Den nous raconte son parcours : s’il a commenc\u00e9 en coupant les cheveux de ses camarades de classe, il est aujourd’hui \u00e0 la t\u00eate d’une cha\u00eene prosp\u00e8re de salons de coiffure pour hommes.<\/p>\n\n\n\n

\u00ab Un chef d’entreprise ne compte pas ses heures. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

Bien qu’il ait commenc\u00e9 t\u00f4t, il a d\u00fb travailler sans rel\u00e2che pour en arriver l\u00e0.<\/p>\n\n\n\n

Evan a d\u00fb d’abord apprendre \u00e0 manier la lame.<\/p>\n\n\n\n

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Tirer des le\u00e7ons importantes<\/h2>\n\n\n\n

\u00ab The Barber’s Den est le projet d’une vie. Celui-ci a commenc\u00e9 vers 12 ou 13 ans avec mes premiers essais \u00e0 la tondeuse. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

Evan l’admet, ses premi\u00e8res coupes n’\u00e9taient pas toujours r\u00e9ussies.<\/p>\n\n\n\n

\u00ab L’une des premi\u00e8res coupes dont je me souviens est celle de Pauly D. Tout le monde l’avait adopt\u00e9e. C’\u00e9tait presque une coupe au bol. Un ami voulait que je lui fasse, et j’ai accept\u00e9. Avec assurance. \u00c2g\u00e9 de 14 ans, il faisait alors ses premiers pas dans l’\u00e9quipe universitaire de basket-ball. Malheureusement, la coupe \u00e9tait si rat\u00e9e que les supporters ont cri\u00e9 “moumoute, moumoute !” pour se moquer de lui. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

Les cheveux ont repouss\u00e9, et l’ami d’Evan a fini par lui pardonner. Mais c’est cette confiance qui a permis \u00e0 Evan de se perfectionner… et c’est quelque chose dont il se sert encore aujourd’hui pour g\u00e9rer son \u00e9quipe.<\/p>\n\n\n\n

Le perfectionnement des comp\u00e9tences<\/h2>\n\n\n\n

\u00ab C’est s\u00fbr qu’il est important que la coupe de cheveux soit r\u00e9ussie. Mais, ce qui fait r\u00e9ellement la diff\u00e9rence, c’est la personnalit\u00e9 du coiffeur et la fa\u00e7on dont il communique avec ses clients. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

C’est en travaillant dans le commerce et le service \u00e0 la client\u00e8le \u00e0 divers postes qu’Evan s’est rendu compte de l’importance de la communication.<\/p>\n\n\n\n

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Il a beaucoup appris sur les relations avec les clients et les collaborateurs, par exemple en travaillant chez un caviste et en servant les repas dans un h\u00f4pital.<\/p>\n\n\n\n

\u00ab En travaillant dans le secteur tertiaire, dans la restauration, on apprend \u00e0 s’occuper des gens. Plus on \u00e9prouve de l’empathie pour eux, plus on leur apporte, et plus la coupe de cheveux en vaut la peine. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

L’ouverture du premier salon<\/h2>\n\n\n\n

Evan a ouvert son premier salon \u00e0 tout juste 22 ans, la semaine o\u00f9 il a obtenu son dipl\u00f4me universitaire.<\/p>\n\n\n\n

\u00ab J’avais un dipl\u00f4me de commerce. Qu’est-ce que j’aurais pu faire \u00e0 part cr\u00e9er ma propre entreprise ? J’aurais pu travailler dans l’entreprise de quelqu’un d’autre\u2026 Mais je voulais travailler pour moi-m\u00eame<\/strong>. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

Son premier salon ne comptait qu’un seul fauteuil et ne lui plaisait pas. Il savait que, pour d\u00e9velopper son activit\u00e9, il avait besoin d’un local plus grand dans un quartier plus attrayant.<\/p>\n\n\n\n

Il a heureusement fini par trouver son bonheur et, avec, assez d’espoir et de confiance pour aller de l’avant.<\/p>\n\n\n\n

\u00ab J’ai trouv\u00e9 un local en rentrant chez moi. C’est le moment o\u00f9 j’ai su que je pouvais r\u00e9ussir et que j’avais choisi la bonne voie. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

Le d\u00e9veloppement de l’activit\u00e9<\/h2>\n\n\n\n

C’est apr\u00e8s l’ouverture de son deuxi\u00e8me salon qu’Evan s’est rendu compte qu’un deuxi\u00e8me g\u00e9rant ne serait pas de trop.<\/p>\n\n\n\n

Stephen Ferreira a alors<\/p>\n\n\n\n

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rejoint son \u00e9quipe. Il travaillait dans un salon de coiffure pour hommes, apr\u00e8s avoir g\u00e9r\u00e9 une maison de disque.<\/p>\n\n\n\n

\u00ab Je pense qu’associer quelqu’un d’autre \u00e0 son entreprise permet de se concentrer sur ce qu’elle est, peut-\u00eatre pas ce que l’on veut faire, mais ce pour quoi on est le meilleur, et cela aide \u00e0 d\u00e9finir les r\u00f4les. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

Le perfectionnement de l’\u00e9quipe<\/h2>\n\n\n\n

\u00ab Nous aimons penser que notre culture consiste \u00e0 toujours aller de l’avant et \u00e0 acqu\u00e9rir de nouvelles comp\u00e9tences. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

Evan et Stephen ont commenc\u00e9 \u00e0 mettre davantage l’accent sur la formation du personnel et \u00e0 proposer autre chose que les coupes courtes.<\/p>\n\n\n\n

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Stephen raconte : \u00ab Nous avons commenc\u00e9 \u00e0 nous int\u00e9resser aux coupes de cheveux canon d’Angleterre ou d’autres pays sur Internet. Des coupes plus longues que nous ne proposions pas. Ev et moi avons alors r\u00e9alis\u00e9 que nous devions continuer \u00e0 nous former et \u00e0 former notre \u00e9quipe. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

Aujourd’hui, Stephen et Evan font venir davantage de professionnels capables de pr\u00e9senter des styles que les salons pour hommes ne proposent g\u00e9n\u00e9ralement pas. En agrandissant son offre, The Barber\u2019s Den peut attirer des clients plus divers.<\/p>\n\n\n\n

Et parce que cela le passionne, Stephen est d\u00e9sormais responsable de la formation au sein de l’entreprise. Quant \u00e0 Evan, en plus de diriger l’entreprise et de couper les cheveux de ses clients, il est formateur et consultant pour la marque de soins capillaires Baxter California.<\/p>\n\n\n\n

Offrir plus qu’une simple coupe de cheveux<\/h2>\n\n\n\n

Lorsque l’on p\u00e9n\u00e8tre dans un des locaux The Barber\u2019s Den, on est frapp\u00e9 par l’ambiance d\u00e9contract\u00e9e, mais accessible.<\/p>\n\n\n\n

\u00ab Quand nos clients entrent dans nos salons, nous voulons qu’ils aient l’impression de faire partie de notre famille. On peut se faire couper les cheveux partout, mais certains salons offrent plus que d’autres. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

Evan et Stephen s’efforcent de cr\u00e9er une atmosph\u00e8re accueillante qui donne tout de suite confiance.<\/p>\n\n\n\n

\u201cIl y a la d\u00e9coration, l’agencement, l’am\u00e9nagement. Il y a aussi la culture du salon, et je pense que c’est quelque chose qui progresse en permanence. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

Et il n’est pas possible de passer \u00e0 c\u00f4t\u00e9 de leur branding audacieux qui associe une typographie old school au profil moderne d’un lion.<\/p>\n\n\n\n

\u00ab Je pense que la marque joue un grand r\u00f4le dans notre fa\u00e7on de faire et dans la vision qu’ont les gens de nos salons. Nous sommes tous des individus cr\u00e9atifs, et nous sommes tous diff\u00e9rents, mais nous sommes aussi tous unis par cette marque. \u00bb<\/p>\n\n\n\n

Si la d\u00e9coration, la musique et la marque leur importent beaucoup, ils n’oublient jamais l’aspect le plus important, celui pour lequel Evan a d\u00e9velopp\u00e9 un sens particulier quand il travaillait \u00e0 mi-temps : le service.<\/p>\n\n\n\n

\u00ab Les relations que je noue n’ont de cesse d’\u00e9voluer et de se d\u00e9velopper. Tous les jours qui passent, j’en apprends un peu plus sur moi-m\u00eame gr\u00e2ce \u00e0 mes clients. \u00bb<\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"

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